a) Comment avez vous vécu le 7 décembre 2010 ? Comment était le jour de votre affection ? Racontez ce moment.
C'était perturbant, tellement que j'ai même un choc post-traumatique dans mon dossier médicale en ce moment. J'étais une infirmière douée, j'étais même passionnée, mais tout à disons, changé. Je ne me perçois plus comme avant. Quand j'ai vu cette espèce de truc qui arrivait sur moi, je n'ai pas sus quoi faire. Courir, ou bien crier ? Je voyais ces gens autour de moi qui espérait ne pas être touché, c'était une tragédie. Je ne pourrais plus jamais revivre un évènement pareil, plutôt mourir que de ravoir cette sensation comme si quelqu'un vous prenais quelque chose et sortais de votre corps ensuite. C'est ce que j'ai ressentis.
b) Avez vous développé des dons après votre transformation ? Qu'est ce qui a changé chez vous ? Votre mémoire a-telle était touchée ?
Quand j'ai sus que cette chose m'avait affecté, de sorte que je me trouvais malade cliniquement parlant, je ne sus pas trop que dire. D'abord je crois que l'euphorie à embarquer, pour ensuite que ce soit l'ironie du sort comme on dit si bien. Je ne voulais pas vivre aussi malheureuse, si terré. Ce qui a changé, est mon caractère, je suis peureuse, tellement que tout m'effraie. Les flashs des appareils photos, les lumières trop vives, et parfois même le soleil. Je ne sors presque plus de chez moi, et me met un bonnet dans le noirs. Depuis quelques temps, je vois des scènes dans le noir, des sortes de vivions que je n'arrive pas à identifier. C'est comme si je voyais d'autres victimes, des incidents qui se sont produits en un flash. Je n'entend rien, mais je vois. Quand cela m'arrive, je fige sur place et après je fond en larme, et je suis tétaniser pour une bonne demi-heure. Plus j'avance dans le temps, on dirait que des souvenirs me manquent pour faire places à des visions. C'est comme si ce "dons" avait des conséquences sur moi.
c) Avez vous peur des conséquences ? Pourquoi ne pas avoir recours à la médecine pour que l'affection disparaisse ?
Je veux me débarrasser de cela, mais malheureusement, mon mari à peur que je ne sois encore plus atteinte avec la guérison. Que je fasse une sorte de grosse dépression noire et que.. vous entrevoyez la suite je crois. Je ne peux pas dire combien j'espère m'en retirer, m'en éloigné. Mais j'ai tellement peur des conséquences que le remède peut apporter, ou encore de cette sorte de maladie. Je suis confuse, je ne peux pas porter de jugement seule.

all about me
Dans cette partie de votre présentation, vous devrez lister au moins cinq points qui caractérisent votre personnage. Essayez pour chaque point d'être précis, et d'écrire un minimum d'au moins deux lignes.
► Tête en l'air, chaque fois que quelqu'un me dit de suivre son conseil je ne l'écoute pas. Je veux vivre ma vie selon mes propres règlements même si cela m'entraîne parfois à aller contre les lois que je me suis fixer, ou à blesser certaine personne.
► Calme et douce; on dit de moi que je fais pas de mal à un chat, tellement que je suis douce. C'est bien vrai, je ne peux pas blesser les gens méchamment, parfois sans m'en rendre compte je ne le fais. Mais c'est très rare pour vous dire. De plus, comme je fais des techniques de respirations pour calmer mon stresse immense, il est parfois très fréquent de me voir calmer comme si je venais de prendre une tisane ou de faire du yoga.
► Pisseuse; j'ai toujours eu peur de tout. Des reptiles, de certains animaux, et même que j'ai eu une passe végétarienne pour ne pas avoir toutes ces maladies causer par la viandes animales. Je déteste les aiguilles, et je ne peux juste pas penser à en avoir une dans mon bras. J'ai du apprendre à contrôler ma peur de celle-ci. De plus, depuis que j'ai été infecté, j'ai peur du sang, car j'ai l'impression qu'il y en a aura énormément de versé.
► Compréhensive; j'ai toujours eu l'âme de comprendre les autres. Que ce soit dans leur peines ou dans leur bonheur j'adore pouvoir partager cela avec mes proches. Que serais-je sans cela quand on y pense. Je suis réservé et donc ce petit adjectif, cause chez moi un équilibre. Depuis que j'ai eu mon incident seulement, tout à changé, j'ai besoin de me faire entendre moi avant les autres. Car dans ma tête il y a pleins de choses qui se produise et qui doivent se faire évacué si je ne veux pas devenir folle.
► ▽ replacer sans cesse des mèches de cheveux derrière ces oreilles ▽ rouler les yeux lorsqu'elle se sent exclus d'une situation ▽ se ronger les ongles lorsqu'elle se les casses ▽ dire " oh sa vibre ! " quand son blackberry se met à vibrer ▽ marcher vite lorsque quelqu'un semble la suivre, alors qu'il va tout simplement chez lui ▽ se gratter le dessus de la tête quand elle ne comprend rien ou que c'est trop pour elle ▽ lever les yeux au ciel quand une fille parle de son copain ▽ basculer la tête sur le côté quand elle observe quelqu'un ▽ lever un sourcil quand tout va mal, ou qu'elle pense avoir mal compris ▽ crier à chaque arraignée qu'elle voit. ▽ essayer de sauver toutes les coccinelles qu'elle voit ▽ toujours vérifier qu'elle a deux morceau sur elle à la plage ▽ faire du yoga quand elle a envie de crier ou étriper son chat.

---

introduce yourself
pseudo › honeyground age › dixsept flingues Un mot, un commentaire à faire ? INCREDIBLE FORUMMM !! célébrité sur l'avatar › amberhotnessheard

the story of the universe

◮ don't you see ? i am not crazy, it's not just me in all the earth who's getting crazy. i used to be normal, i am normal, no ? right i see things that i'm not supposed to see, but that don't mean i'm getting mad, ou bad. i am the same persons, i just changed. cause yes, i used to be normal before ◮
Nous sommes en 2012, et je m'appelle Prisca DiLaurentis. Ceci, est mon journal, le premier que j'écris depuis l'incident qui c'est produit. Mon histoire n'est pas la plus rose ni la plus laide, j'en suis sûr. Mais, j'étais normal, il y a bien longtemps.. Mon enfance, ou ma vie tout court à été des plus joyeuses choses du monde, je me rappelle ce quatrième anniversaire lorsque j'avais reçu cet ourson en pluche que j'adorais de tout mon coeur et que j'ai toujours voulu garder et sauver. Je me rappelle aussi ma mère, cette si bonne et belle mère qui me consolait lors de mes chagrins, me disant que tout allait rentrer dans l'ordre. Avait-elle seulement prévus que tout cela allait m'arrivé ? Je ne crois pas que personne aurait pu prévoir ce qui c'est passé. Mais avant de parler du présent, ou du futur, je crois que le passé est très important. Ma famille, est une étape de ce passé.

février 2000 ◮ « Je te l'avais dis qu'on allait survivre à la fin du monde Prisca ! » cria un jeune homme depuis le salon, complètement écrasé dans un sofa. J'avais à ce temps douze ans et je m'en souviens comme si c'était hier. Je le regarda et lui tira la langue, en passant devant lui afin de lui cacher la télévision. C'était toujours une guerre avec lui pour savoir qui décrocherais la fameuse télécommande. Nous avions alors le choix entre pokémon et One Three Hill, bien sûr la gamine que j'étais, trouvais toujours l'argument choc pour qu'il lâche mon occupation et s'en trouve une autre. « Tu sais très bien que si je ne l'écoute pas les filles vont me traiter de parias à l'école. » Il se leva en souriant et me regarda pour me tendre la télécommande, trop belle à mes yeux dans ce temps, pour ensuite déguerpir et revenir deux secondes après. « T'as déjà oublié que maman te fais l'école à la maison cette année ? Pas question de t'envoyer à dix milles pieds de la maison voyons. » Braison se mit à rire et se rendit à la cuisine. Je le fusilla du regard et regarda l'émission de télévision. Mon frère m'a toujours dis que les fins du monde n'existent pas, que ce sont nous qui feront notre propre apocalypse. Je l'ai toujours admiré pour ces paroles et non pour sa débilité profonde. Bien sûr à douze ans cette fin du monde m'importait peu. Mais plus tard, elle m'intéressa un peu plus.

juin 2003◮ « Maman... je.. je m'ennuie de Braison. » Mon frère est décédé en mars deux milles trois. Je ne me reconnaissais plus après sa mort, c'est d'ailleurs après l'accident de voiture qu'il eut que je sus que j'avais un problème de santé. Mon coeur s'arrêtais parfois à cause d'effort physique trop forçant, les médecins disent alors que je souffre de bradycardie. Ma vie a drôlement changer lorsque les médecins m'ont annoncé que j'avais cette maladie. Je ne pouvais plus sourire comme avant. « Je sais que c'est difficile, la mort de ton frère et cette maladie qui t'attaque en même temps. Mais je suis là pour toi ma chérie. » Je soupira. Oui tout le monde était là pour moi, mais chaque fois que j'arrvais pour me confier tout clochait soudainement.

décembre 2010◮ « Elle est atteinte, d'une folie grave, nous croyons qu'elle soit schizophrène. » J'étais assise sur le lit d'un hôpital psychiatrique attacher au pieds, mais les mains libres. Mon mari ce tenait devant moi avec le médecin, faisant comme si je ne les entendaient pas. Pourtant nous le savions tous les deux que je n'étais pas folle, je ne pouvais pas l'être. « Je t'en pris... je ne suis pas folle, je suis normal, je ne peux pas être stupide.. ni folle.. crois-moi ! » On me laissa sur observation. Malgré mes plaintes et tout ce que j'avais dis à mon mari, il c'était retiré et avait que répliqué qu'il faisait ça pour mon bien. Je savais pourtant que je n'étais pas folle. Je ne suis toujours pas folle ! Je sais qui je suis, et ces visions je sais très bien ce qu'elles sont. Mais personne ne me croit. Quand finalement ils ont expliqué à mon mari ce qui se passait, il ne sut quoi répondre, et me remporta à la maison. « Je.. je t'en pris tu dois me croire.. » J'espère seulement que je vais réussir à le convaincre que je ne suis pas folle !