someone like you ;

Le soleil se fait tellement de plus en plus rare en ce moment à Marseille. Ce temps me déprime, je n'arrive pas à me concentrer dans mes révisions avec les volets qui claquent à cause du vent et les sifflements des courants d'air sous les portes. Et je n'ai vraiment pas besoin de ça en ce moment. J'ai mes examens qui débutent dans deux semaines et je n'ai même pas révisé la moitié. Je pensais qu'en m'installant chez mes parents le temps de mes révisions, je pourrais me concentrer et rattraper le temps perdu mais voilà. Je finis dans le canapé, devant un film déjà vu avec des gâteaux à la main. Ce film est tous simplement inintéressant, et ne sert à rien mais j'aime les acteurs. Je me releva un peu du canapé lorsque j'entendis une porte s'ouvrir, surement ma mère qui rentrait du marché. Vu ce temps, ça ne m'étonne pas qu'elle soit revenue de si tôt. tu fais quoi encore devant la télé Sio ? et tes révisions ? Je soupira comme à mon habitude et avala un gâteau. tu m'écoutes lorsque je te parle ? Je soupira une nouvelle fois, c'est dans mes habitudes. avec ce temps, j'arrive pas à me concentrer. ça ne sert à rien ! Elle claqua quelques de ses produits qu'elle avait en main sur le plan de travail. Je roula des yeux et continua mon film même si je venais de louper un bon morceau. Une demi heure plus tard, à peine dix minutes avant la fin. J'éteignis mon film et mis les informations. Je me leva et posa ma boite de gâteaux à moitié vide sur le plan de travail et ouvra le frigo. Ma mère venait de faire des courses, il devait bien y avoir quelques choses à se mettre sous la dent. Je parcourus le frigo des yeux mais rien ne m’intéressa. Je le referma et retourna dans le canapé. " Et c'est une étrange situation qui frappe la ville de San Francisco. Une étrange lumière, apparaît à un bon nombres d'habitants. Beaucoup sont malades et ne guériront certainement pas et d'autres nous ont déjà quitté. " Je me releva sur le canapé et me mis à genoux sur celui-ci. J'y crois pas, mais c'est génial ! Faut absolument que je vois ça de plus prêt. J'en avais déjà attendu parler mais là, incroyable. J'ai été fasciner toute ma jeunesse par les films paranormaux. Je pris mon portable et composa le numéro d'une amie. Allô ? ... Tu vas bien ? ... Oui. Trouves moi un billet pour San Francisco. ... Merci, t'es génial. Un grand sourire apparut sur mon visage. Comment ça San Francisco ? dit ma mère paniquée. Elle venait de voir tout comme moi le reportage mais elle faisait semblant de ne pas comprendre. Je prend mon destin en main maman. Je me leva tout en souriant et partis dans ma chambre préparer ma valise. Attention, San Francisco me voilà !

Voilà maintenant, cinq ans que je suis ici. Lorsque je suis arrivée, je me suis mise à aidé les gens qui étaient malades. Puis je me suis mise à travailler, en tant que serveuse donc j'ai arrêté mes études, pas bien. Mais je me sens plus libre et je rend visite à mes parents une fois par mois. Depuis que la deuxième vague de lumière, le nombre de victimes est encore plus impressionnant. Je suis on ne peu plus présent.

Chaque infirmiers, chaque médecins, s'agitaient dans les couloirs de l'hôpital. Je venais juste d'enfiler mon uniforme en tant que bénévole, qui est hideux et les couleurs sont simplement dépriment. Je sortis de la pièce et réajusta mon badge. Je m'avança vers l’accueil pour savoir dans quel service je me trouvais. Aujourd'hui, je rend visite aux personnes victimes de la lumière mais qui ne sont pas sure d'être guéris. Chambre 26., je devais commencer par là. Un jeune homme venait d'arriver, il a perdu la mémoire et refuse de parler à qui que ce soit. Je toqua à la porte et l'entrouvris légèrement. Je peux rentrer ? Aucun son ne me répondu, j'ouvris la porte plus grand et vis l'homme en question. Il regardait à travers la fenêtre, il tourna légèrement la tête sans vraiment bouger. Je m'avança et referma la porte derrière moi. Je vous ai pas dit d'entrer. Je soupira avec un léger sourire. Je m'avança dans la pièce blanche et sans vie. Je resta au milieu de celle-ci attendant une réponse de sa part. Sortez. Je continua de regarder la pièce. Surement pas, je suis dans chaque pièce pendant une demi-heure. Je reste ici pendant une demi-heure. À son tour, il soupira. Pourquoi vous faites ça ? Je m'avança vers le siège où il se trouvait et m'assis dans celui d'en face. Moi c'est Siobhàn. Un léger sourire apparut sur son visage. C'est vraiment déprimant ici, vous avez pas de dvd ici ? Il me regarda du coin de l'œil avec un sourire puis il regarda par la fenêtre. Je me rappelle pas si j'aime les dvds. Je me leva, et regarda au tour de moi, fouillant un peu. Je trouva un dvd d'un ancien film. On va le savoir. Je mis le dvd dans le lecteur et mis le film en route. Il n'était pas si con qu'on le disait.

Bienvenue à toi.
Avec Nina il nous faudra un liens.